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    Le grand esprit nous a créés et il nous a donné cette terre.

    Nous étions libres comme le vent et nous ne devions pas obéir au commandement d'un autre homme.

    Nous avions beaucoup d'enfants et les troupeaux étaient nombreux.

    Nos anciens parlaient avec les Esprits et faisaient de bonnes magies.

    Nous vivions où nous levions nos "tepee", sans être prisonniers d'une maison.

    Et personne ne disait : jusqu'à cette ligne, c'est ma terre ; au-delà, c'est la tienne".

    A ce point, l'homme blanc arriva.







    D'ailleurs...
    CSIA NITASSINAN




    PiX: A mon iroquois...


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  • Voici une idéologie très rependue, pour ne pas dire dominante :
    "rester cool" dans son pseudo confort merdique en occultant toute trace de mal-être, le sien et celui des autres, quand il se présente, toujours le repousser par le biais d'une plaisanterie apaisante, le mépriser ou l'ignorer, comme tant de regards se détournent du sans domicile faisant la manche, de l'expulsé, et de tant d'autres qui par leur seule tentative désespérée de survie mettent à bas le masque du bien-fondé de cette société, rabâché sans relâche par médias, complaisants, imbéciles, collaborateurs, et dirigeants.
    Le refus total du conflit se traduit par une attitude barbare et dénué de sensibilité, qui est, à n'en plus douter, le véritable visage du comportement de la dite "réussite sociale" : pour eux il n'y a pas de conflit, il n'y a que l'anéantissement par tout les moyens des entraves à leur "bonnelheurres".


    de: N.A.O.H.






    PiX: Natro



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  • Je tremble, j'ai froid... J'aurai pas voulu qu'ça se passe comme ça.
    Si tu savais comme j'suis déçue. J'suis un bout de toi qu'on arrache parce que tu t'en va.
    J'commence juste à m'rendre compte. Trop d'souvenirs dans tes bras, je te hais putain si tu savais, si tu savais comme j'aimerai qu'tu sois encore là...
    Encore une fois j'perds mes re.pères... Oh j'me releverai c'est sûr, mais la prise de conscience actuelle devient juste difficile à accepter sans broncher. Comme quand j'l'ai vu, c'te connasse. J'ai rien dis, même pas posé le regard sur sa carcasse, elle me dégoute. Parce J'fais la forte, j'reste calme, j'en rigole et j'en parle avec des airs de je m'en foutiste comblé... mais qu'est-ce que j'ai peur!! T'imagine pas comme les scènes qui me reviennent font mal, comme je supporterai pas d'te voir couler, j'boirai la tasse et j'veux pas, pas une deuxième fois...
    Et ce putain de téléphone auquel tu répond pas... Je déteste cette messagerie qui m'rappelle juste ton absence.
    Je déteste entendre Still Loving You de Scorpions, voir tes agios dans le cendars, tes photos sur mon mur, mes feuilles Zig Zag, je déteste le canapé ou tu n'es pas, la télé éteinte, les pizzas, tous ces bouquins qu'on à pu feuilleter, les stylo bic noir, les coquillages qu'ont aterri sur les cailloux, les plots oranges dans ma chambre, je déteste pleurer en pensant à ça, et surtout, je déteste me voir moi, qui te ressemble tellement, je me déteste Papa, autant que je t'aime.

    ...


    T'es passé, un moment... Le temps de manger puis t'es reparti, régler des comptes qui ne nous concernaient pas... T'en a plus rien à foutre hein. Ça m'fais mal d'écrire ça mais si tu savais comme ça m'met les nerfs aussi. J'croyais être plus à tes yeux qu'un accident de parcours, un morceau d'une vie passée, un je n'sait quoi que t'as marre de trainer.
    T'as dis que tu revenais ce soir. J'fais bien de pas dormir, parce que j'ai la vague impression que t'es pas près de rentrer.


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  • Parce que ça fait du bien!
    Site officiel
    Myspace


    [j'veux voir Matt, bordel.] 


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  • Des années ont passées depuis la première fois où j'ai entendu ça... Aujourd'hui j'ai changé, et ça revient. Un des trucs qui m'ont fait bouger, qui m'ont poussée... Wep c'est con mais ça résonne. Et plus le temps passe plus j'me rend compte que j'suis comme ça depuis longtemps. C'était et c'est encore enfoui, peu à peu tu pousse, graine d'agité, ou tu t'écrase ou tu prend plus de place, jusqu'a faire partie de ce qui envahira leur merdier. "une mentalité insoumise face a la réalité" comme dirait Kawa? P't'être wep, mais on t'étouffe, putain, et j'vois les même rejets 10 ans après. J'm'en branle des bonnes paroles, vous usez d'tous les arguments possible pour m'enraciner, vous m'voyez utopistes, trop radicale, trop acharnée trop passionnée pas assez prudente... J'ai pas peur dê cet extrème!! Mais rellement peur de fuir... Et par chance j'tombe sur des gens qui ont su me faire forger ma rage et mes convictions. Oi à toi, tu saura.


    T'envoies tout balader
    A tord ou a raison
    Ne jamais plus te soucier du quand dira t on
    Simplement t'éclipser
    Comme on perd la raison
    Prêt à tout essayer
    Quitte même à péter les plombs

    Refrain :
    Laisse de coté les doutes
    Ne te pose plus de questions
    Tante double à quitte ou double
    De n'importe quelle façon


    Quitte à laisser des plumes
    Sur ces route de bitume
    Sa en vaut toujours la peine
    Si la tête revient pleine
    Ne nouveau sourire
    Charger d'émotions
    Des tonnes de souvenirs
    Le bouquet de sensation

    Refrain :
    Laisse de coté les doutes
    Ne te pose plus de questions
    Tante double à quitte ou double
    De n'importe quelle façon


    C'est ainsi l'air de rien
    Que ce trace le destin
    Au hasard des chemins
    Il se dessine sur tes mains
    Tu laisses libre cours
    À toutes les tentations
    Peut importe le parcours
    C'est bon de toute façon



    [Ailleurs-N&Sk]









































    PiX: oui, fut un temps, j'ai eu ma crète redressée



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